Nutzerkonto

Joseph Vogl: Le spectre du capital

Joseph Vogl

Le spectre du capital

Übersetzt von Olivier Mannoni

Broschur, 272 Seiten

PDF, 272 Seiten

« Sur les théâtres de l’économie financière internationale, assiste-t-on à un spectacle relevant de la pure déraison ? »

Dans un contexte de crise financière omniprésente et durablement installée, Joseph Vogl interroge le système capitaliste, ses arcanes, ses modes de fonctionnement, la manière dont il se perpétue. Censé reposer sur une confiance multilatérale, le système des marchés est en réalité traversé d’inquiétude et d’instabilité. Ce qu’on définit comme ses « excès », en particulier la spéculation sous ses formes les plus extrêmes, semble au contraire en faire partie intégrante. Inscrit dans un rapport au temps qui refuse toute réflexion à long terme et passe d’un présent à l’autre ; régi par des responsabilités diluées dans une « main invisible », un spectre agitant dans l’ombre les flux de capitaux ; le monde financier se voit entouré d’une aura mystérieuse, aussi incompréhensible qu’imprévisible. L’enjeu de ce livre est de saisir comment l’économie financière tente de comprendre un monde qu’elle a elle-même engendré.

Avec plus de 50 000 exemplaires vendus en Allemagne, Le Spectre du capital est l’un des livres les plus remarqués sur la crise économique qui frappe actuellement l’Europe.
 

Inhalt
  • 5–8

    Note liminaire

  • 9–38

    Le cygne noir

  • 39–68

    Idylle du marché, I

  • 69–112

    Le temps du capital

  • 113–158

    Idylle du marché, II

  • 159–196

    Reproduction économique et sociale

  • 297–250

    Espace de surprise

  • Politik
  • Kapitalismuskritik
  • Kapitalismus
  • Ökonomie
  • Finanzkrise
  • Homo oeconomicus
  • Finanzmärkte
  • Diskursgeschichte

« Un désenchantement de l’économie financière. » Süddeutsche Zeitung
 

Meine Sprache
Deutsch

Aktuell ausgewählte Inhalte
Deutsch

Joseph Vogl

Joseph Vogl

ist Professor für Neuere deutsche Literatur, Literatur- und Kulturwissenschaft/Medien an der Humboldt-Universität zu Berlin und Permanent Visiting Professor an der Princeton University, USA. Mit »Das Gespenst des Kapitals« (2011) hat Joseph Vogl  »einen heimlichen Bestseller geschrieben, der weit über die Feuilletons Aufsehen erregte« (DER SPIEGEL).

Weitere Texte von Joseph Vogl bei DIAPHANES
Zurück